BEACHCOMBER Les azuréens adorent la marque hôtelière mauricienne

Inantipolis 2

Avril / Mai 2018

INfrarouge

27 mai 2019

Mickael Lardet

Depuis que l’ex-Sophia Country Club est devenu la première franchise du groupe hôtelier Beachcomber, Norbert Couvreur dirige cet hôtel 4 étoiles au cœur du Resort Mouratoglou. Avec expérience, conviction et une énergie qu’il communique à ses équipes avec ferveur : l’humain, c’est sa marque de fabrique. Entretien.

Présentez-nous Beachcomber :

Beachcomber est la marque hôtelière leader dans l’Océan Indien. Sur l’Ile Maurice, sa particularité est de compter 8 établissements d’exception sur 100 kilomètres, le long de la Côte ouest, la plus belle, et au total, 11 hôtels dans le monde.

Pourquoi se développer sur la Côte d’Azur ?

Quand j’ai rejoint Beachcomber en 2003, il était évident pour moi que cette marque devait être représentée à l’étranger. Je l’ai toujours clamé haut et fort : c’est une toute petite chaîne hôtelière, mais avec une réputation mondiale. Nous avons une clientèle française extraordinaire à l’Île Maurice, tout le monde nous adore : nous nous devions d’être présents en France. J’ai travaillé pour Beachcomber 13 ans dans l’Océan Indien , à l’Île Maurice et aux Seychelles.

Pourquoi Sophia Antipolis ?

C’est en 2015 que Patrick Mouratoglou m’a fait signe : il cherchait un manager pour son hôtel.

Ayant rencontré plusieurs fois Patrick dans un hôtel de la marque à l’ile Maurice (!), j’ai dû convaincre Beachcomber d’associer leur marque hôtelière à son Académie de tennis, un positionnement loin d’être évident, mais l’image de Beachcomber correspondait tellement bien au projet de Patrick que nous y sommes arrivés. En même temps…

je devais leur annoncer mon départ ! L’argument pour s’installer ici était imparable : il faut se rendre compte qu’un client sur deux de Beachcomber vit ici, est en retraite ici, fréquente la Côte d’Azur pour ses affaires ou y possède un pied-à terre. Nous amenions la marque au cœur du berceau de sa clientèle !

Quel est le business model ?

C’est une franchise. Beachcomber perçoit une petite partie du chiffre d’affaires de l’hôtel.

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