Vignobles Chevron Villette – Convivialité partagée

Inantipolis 15

Juillet / Août 2020

Portraits

5 août 2020

Mickael Lardet

Fabrice Claudel, directeur commercial CHR (Café Hôtellerie Restauration) des Vignobles Chevron Villette, ne conçoit son métier que sur l’affect, l’écoute et le partage. A l’image de l’histoire de la famille de Chevron Villette, dont il partage les valeurs d’humanité. Plaisir de la rencontre, convivialité : Fabrice Claudel nous emmène en tournée…

Après son passage au Lycée Hôtelier Paul Augier et un BTS Tourisme, il s’essaye à la restauration et au service, fait ses armes en Angleterre pour se frotter à l’hôtellerie, et dirige même un golf. Avant de tenter l’aventure commerciale à l’époque où les vins E & J Gallo voulaient conquérir le vieux continent avec leurs breuvages californiens… « Une très bonne école de vente » sourit Fabrice Claudel. Aujourd’hui, la branche CHR qu’il dirige chez Chevron Villette Vigneron (le plus important producteur de vins à titre privé en Provence avec 500 ha de vignes exploitées) écoule jusqu’à plus de 400.000 bouteilles en CHR chaque année dans toute la France. Il y a 8 ans, c’était quatre fois moins, quand la marque n’avait pas encore cette notoriété, notamment sur la Côte d’Azur.

Comment définiriez-vous votre métier ?

Je suis un épicurien : fils de cuisinier, élevé par un pâtissier… Nous avons un métier de contact où nous vivons des aventures humaines extraordinaires, où l’affect a toute sa place. Le vin, c’est avant tout du partage, de la convivialité et du plaisir : on vend du rêve en bouteille ! Evidemment, comme beaucoup, je ne pourrais vendre un produit auquel je ne crois pas, donc lorsque j’ai rencontré le Comte Guillaume de Chevron Villette, j’ai été avant tout touché par son histoire et son savoir-faire. Il a choisi ce métier pour rendre hommage aux générations passées, avec compétence et humilité.

Comment faites-vous grandir la notoriété des vins Chevron Villette ?

Il y a 10 ans, Guillaume a décidé de travailler sur l’image pour se faire connaître du grand public. C’est dans ce but qu’a été créé le département CHR que je dirige. J’ai une grande liberté pour travailler sur la stratégie commerciale, le packaging et les partenariats que nous menons dans le sport et la culture, souvent locaux. Ils ont les mêmes valeurs que nous : ils sont historiques, populaires et veulent « jouer » dans l’élite ! A l’image de l’OGC Nice, dont nous sommes fournisseurs officiels depuis 8 saisons. Nous travaillons aussi en collaboration avec des artistes azuréens mais aussi des entités telles que Panda Events, l’Opéra et le Théâtre de Nice…

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