RSE : TRANSCAN sur une trajectoire durable

Le groupe de transport régional connait une importante phase de développement depuis plusieurs années. Celle-ci se traduit notamment par la croissance des effectifs de ses 9 filiales (plus de 350 personnes) et de sa surface foncière d’exploitation avec en 2023, 14 dépôts dans les Alpes-Maritimes. Une stratégie ambitieuse qui s’appuie aujourd’hui sur la prise en compte d’éléments extra-financiers, en lien avec la RSE qui fait l’objet d’une attention toute particulière chez Transcan depuis le début de l’année. Entretien.

En quoi la RSE revêt une importance forte dans une entreprise de transport comme Transcan ?

Pierre-Alexandre Inwiller
Directeur du développement :

Aujourd’hui, peut-on concevoir le développement d’une entreprise sans prendre en compte la RSE : la réponse est clairement non ! Nous y avons donc réfléchi d’une manière globale chez Transcan. Le développement doit être économique, mais aussi humain -et ce, de différentes manières, mais pour cela, il faut travailler une approche homogène. Dans chacune de nos 9 filiales, il y avait des initiatives mais nous manquions de coordination, d’homogénéité à l’échelle du groupe. Avec l’arrivée de Cécile, nous allons rapidement être en mesure de corriger cela.

Mickaël Remaggi,
Directeur Administratif et Financier :

« La RSE, ce sont des objectifs mais c’est aussi un coût qu’il nous faut pouvoir évaluer. La prise en compte d’éléments extra-financiers procède d’un important travail de recherche à mener et va nous permettre de produire un bilan d’ici à trois ans. Nous suivons de près ces nouveaux indicateurs. Je supervise le travail de Cécile Frémaux, qui aide la direction financière à mener ces recherches dans l’entreprise.

Cécile Frémaux :

Formée au contrôle de gestion financier et extrafinancier, je prépare une thèse sur les systèmes de mesure de la performance environnementale et sociale, au sein de Transcan.