GREENB GROUP : L’HUMAIN, POUR FAIRE GRANDIR l’entreprise dans l’équilibre

Née en 2019, développée par Marlon Andreï  Rabago, GREENB Group s’est très rapidement développée par croissance externe. Aujourd’hui, le spécialiste de la bureautique et des télécommunications à destination des entreprises poursuit ses ambitions de croissance en harmonisant l’ensemble de la gestion des entreprises créées ou acquises ces 3 dernières années.

Lorsque l’entreprise a été créée en 2019, l’objectif était clair : prendre des parts de marché significatives dans le secteur des télécommunications et de la bureautique. Après un fort développement commercial, GREENB Group a poussé ses pions en créant son entité monégasque dès juin 2021. Neuf mois plus tard, l’entreprise faisait l’acquisition de CCII, spécialisée dans le conseil en systèmes et logiciels informatiques. En septembre 2022, c’est la PME Sullitech (alarme, incendie, vidéo) qui entrait dans le giron du groupe. Des choix stratégiques qui permettaient une réorientation et une structuration de l’offre différentes.
Car GREENB Group a depuis lors scindé son activité en quatre départements : GREENB Telecom (opérateur téléphonique), GREENB Security (vidéosurveillance, contrôle d’accès, sécurité incendie, alarme), GREENB Solutions (matériel et logiciels), et GREENB Print (matériels d’impression).

La confiance et l’humain

Une orientation qui a conduit Marlon Andreï Rabago à choisir un modèle de développement qu’il veut à la fois industrialiser, rendre évolutif et agile. Le pari du fondateur de GREENB Group ? Miser sur le capital humain et la confiance envers ses équipes, les meilleurs atouts pour assurer le développement du groupe. Car le projet est ambitieux : à mesure que l’entreprise grandit, au fil de plusieurs rachats, il faut réorganiser et structurer toute la partie administrative et financière.

Dès ses débuts en 2019, GREENB Group s’est surtout attelé à développer son commerce, il faut donc organiser aujourd’hui les autres services et harmoniser le fonctionnement de chaque entreprise, ce qui doit permettre notamment d’automatiser certaines tâches trop chronophages comme les paiements ou dans un autre registre, la gestion des stocks.