Qualité de l’Air Intérieur : un nouveau défi pour les entreprises

Inmagazines 17

Octobre / Novembre 2020

INfo

24 novembre 2020

Mickael Lardet

LE SIS est spécialiste des prestations de sauvetage après sinistre, de rénovation, de démolition et de désamiantage, d’entretien préventif et autres nettoyages spéciaux, ainsi que d’hygiène aéraulique. Le professionnel de l’optimisation de la durée de vie des bâtiments développe aujourd’hui une activité en plein essor : la QAI (ou Qualité de l’Air Intérieur).

Comme dans ses autres domaines de prédilection, l’entreprise grassoise dirigée par Michel Blasi, se structure avec un grand professionnalisme pour faire face à la demande. « Nous nous étions déjà spécialisés dans l’hygiène aéraulique (l’entretien des réseaux de ventilation et de climatisations) suite à la demande de nos clients et pour compléter notre offre en lien avec l’intervention après sinistre. Depuis environ deux ans, nous sommes de plus en plus sollicités sur la qualité de l’air intérieur, par nos clients professionnels », explique Michel Blasi, fondateur du groupe. La responsabilisation grandissante des entreprises vis-à-vis de la santé de leurs salariés, le contexte sanitaire, ne sont pas étrangers à cette tendance forte.

Objectif : santé, bien-être et performance au travail

Aujourd’hui, LE SIS modélise ses prestations en proposant un diagnostic suivi d’une étude et de la proposition d’un plan d’action. « Nous rendons visible ce qui ne l’est pas. Nous réalisons un relevé technique, une analyse et une cartographie complète de l’air et des équipements qui le véhiculent. Là nous décelons avec précision les polluants, les COV (Composés Organiques Volatiles) et les pathogènes », explique John Henry, Responsable d’activité LE SIS Airtech. Une fois l’air ambiant analysé, LE SIS propose un plan d’action pour assainir durablement l’espace. La démarche est salutaire pour toute entreprise : «  On ne le dit pas assez, mais travailler sur la QAI, c’est réduire l’absentéisme, améliorer le bien-être des employés et cela permet de travailler à la fois sur la RSE et la QVT (Qualité de Vie au Travail) », estime Michel Blasi. Des notions importantes à prendre en compte pour conserver la performance et la pérennité de l’entreprise.

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