Lisa Rose – Tricopigmentation, l’autre technique contre la perte des cheveux

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Mickael Lardet

Cette intervention, beaucoup moins invasive que la pose d’implants, vise à redonner visuellement de la densité aux cheveux par la technique du « Dotwork ».

La technique de tricopigmentation (du grec Tricho, pour cheveu ou poil), dans le cas d’une calvitie par exemple, vise à reproduire la repousse du cheveu à l’aide de points. Sans douleur, sans éviction sociale, cette technique apparue il y a une petite dizaine d’années consiste à tatouer le cuir chevelu en utilisant la technique du Dotwork, ou littéralement, « travail du point ». On effectuera donc un travail point par point afin d’obtenir un effet « crâne rasé » naturel. Si la masse capillaire du client lui permet de garder ses cheveux, le travail de Dotwork consistera ici à densifier la zone clairsemée.

La tricopigmentation est résorbable mais ne s’applique pas à toutes les couleurs de cheveux : on ne pigmente jamais un cuir chevelu avec des cheveux blancs ou blonds.

Les pigments sont spécialement élaborés pour le cuir chevelu, la couleur ne vire pas. Notez bien que la technique est indolore et ne nécessite que quelques retouches tous les 2 à 3 ans.

Femmes : retrouvez de la densité capillaire

Les femmes aussi peuvent profiter de cette technique lorsqu’elles souffrent d’alopécie androgénique. Dans ce cas, la tricopigmentation permet de créer un effet de densité de cheveux sur des zones où leur finesse laissait entrevoir le crâne. Cela redonne un effet de masse capillaire en trompe l’œil. Cela constitue enfin une excellente alternative aux implants dans le cas de cicatrices à masquer sur le crâne.

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