CAISSE D’EPARGNE CÔTE D’AZUR : UNE CULTURE D’ENTREPRISE FORTE, qui valorise diversité, mixité et inclusion

Entreprise engagée au quotidien en faveur de l’égalité femme-homme, la Caisse d’Epargne Côte d’Azur implique l’ensemble de ses parties prenantes en déployant depuis plusieurs années des dispositifs conçus pour lutter contre les inégalités tout en renforçant la mixité et la diversité au sein de la banque azuréenne. Pour en parler, Françoise Lemalle, Présidente du Conseil d’Orientation et de Surveillance et Claude Valade, Président du Directoire de la CECAZ

A la CECAZ, la parité est presqu’atteinte sur l’ensemble de vos collaborateurs /trices. Certains postes sont même plus largement occupés par des femmes. A quoi peut-on attribuer cette différence ? Y a-t-il une volonté de « féminiser » encore les effectifs ?

La Caisse d’Epargne Côte d’Azur est fi ère de sa démarche proactive en matière d’égalité des genres, avec 61 % des postes de directeurs d’agence occupés par des femmes. Cette représentation est surtout le fruit d’une culture d’entreprise inclusive qui valorise les compétences indépendamment du genre.
Nous avons mis en place des politiques de recrutement et de développement professionnel qui favorisent l’équilibre et la diversité. Notre objectif n’est pas spécifiquement de féminiser nos effectifs, mais bien d’atteindre la mixité et la parité. Nous visons à créer un environnement où l’égalité des chances est une réalité, ce qui, selon nous, enrichit notre organisation et favorise l’innovation.
En 2024, nous avons recruté 109 collaborateurs en CDI, et prévoyons 185 recrutements pour 2025, en respectant cet objectif de diversité et de parité.

En termes de gouvernance, vous formez un binôme également mixte. Qu’est-ce que cela apporte dans vos échanges et votre collaboration ?

La mixité, c’est tout d’abord pour nous une richesse de points de vue. Cela nous permet de challenger nos idées, que chacun puisse prendre du recul mais cela permet aussi d’apporter un certain équilibre dans le leadership. Nous alternons les approches, nous nous complétons. Indéniablement, cette diversité crée un mode de gouvernance plus humain, plus ouvert et finalement beaucoup plus en phase avec les attentes de nos équipes comme de celles de la société.